Ça ne vous aura certainement pas échappé, je suis mariée ! Yihaaaaa
Cet événement m’aura tenu un peu éloignée du blog et aussi d’Instagram mais je dois l’avouer, pour mon plus grand bonheur ! Vous ne le savez peut être pas mais avant que la couture ne devienne une passion capable de canaliser une bonne partie de mon énergie créative, j’ai eu pas mal de loisirs…
Donc forcément, dès que nous avons commencé à planifier le mariage, je n’ai eu aucun doute sur mon envie de tout faire (ou presque) moi même… Et je pense que l’Homme l’avait bien compris ! Pendant des semaines, ok je mens, des mois, j’ai passé des heures à regarder Pinterest et Instagram ; à imaginer la décoration, le déroulement de la journée, de la cérémonie ; et bien sûr nos tenues !
Petite parenthèse – Je fais ou je fais pas – ma robe ?
Je couds ou je couds pas ma robe ?
Je vous ai déjà exposé ici les raisons pour lesquelles j’ai décidé de ne pas coudre ma robe de mariée. Si cette décision a été difficile à accepter, elle s’est imposée à moi. Et si je suis honnête avec vous, aujourd’hui j’ai assez de recul pour vous dire que ce qui m’a longtemps fait hésiter c’est la fierté ! Sans aucune vantardise, je pense réellement que j’étais capable de coudre ma robe de mariée. J’aurais bien entendu adapté ma robe à mes capacités… Mais j’ai vu le doute dans les commentaires de mes proches et j’avais envie de prouver que j’en étais capable. A force d’entendre « Tu vas coudre ta robe ? » à tout va, je me suis confortée dans l’idée que j’allais le faire pour pouvoir répondre oui. Au départ il est clair que j’en avais envie. Ensuite je me suis sentie entraînée dans une sorte de gloubiboulga de « je veux montrer que je peux le faire » « je veux faire partie de ces instagrameuses qui cousent leur robe » et « j’ai réellement envie de le faire ». Difficile de démêler tout ça !
Mais comme je vous l’ai déjà dit, lorsque j’ai essayé ma robe, j’ai tout de suite compris que si je voulais la coudre, je voulais coudre celle là ! A partir de là, la question a été vite réglée…
Ma robe
Pour la robe de ma vie je n’étais pas fermée sur la forme. J’avais par contre en tête certains éléments, je voulais une taille marquée, un décolleté devant et des petites manches ou des manchons. J’ai essayé des robes sirène, princesse, bustier, etc. J’ai été déçue par les matières, ou par les prix… Par les tailles aussi ! Et puis, lors de ma deuxième journée d’essayages, la 7° boutique et la dernière programmée, j’ai rencontré Pauline. Elle officie dans la boutique Elsa Gary de Lyon et m’a fait essayé en premier un de mes coups de cœur de la collection 2018, la robe Zélie. Tout de suite et avant même de me voir je me suis sentie à l’aise ! Et, quand je me suis regardée, je me suis trouvée jolie…